
Parce que ce ne sont plus des moments partagés,
En mangeant les premières fraises, je pense à toi,
En entendant les vociférations de Marine, je pense à toi,
En lisant Aki Shimazaki, je pense à toi,
En voyant des tennis verts, je pense à toi,

En regardant la mer, je pense à toi,
En croisant un petit chat roux, je pense à toi,
En admirant les jardins fleuris, je pense à toi,
En craquant devant des pelotes de mohair, je pense à toi,
En passant devant la maison d’Yvonne Jean-Haffen, je pense à toi,

En rangeant les pastels que tu n’utiliseras plus, je pleure.
Man